Dans une période de vives tensions électorales, Anta Babacar, figure de proue de l’Alternative pour la Relève Citoyenne (ARC), se trouve injustement attaquée par une série de rumeurs qui cherchent à l’associer à des actes de violence. Des allégations qui tranchent radicalement avec le message de paix et de responsabilité qu’elle a toujours porté. « Depuis mes premiers pas en politique, ma ligne a toujours été celle du respect et de la non-violence, » a-t-elle déclaré avec gravité. « Je ne laisserai jamais l’ambition politique l’emporter sur les valeurs qui m’ont été inculquées : celles de la paix, de l’intégrité et du service désintéressé à ma nation. »
Les calomnies ont pris la forme de vidéos, soigneusement orchestrées pour jeter le discrédit sur elle. Une séquence montre une bagarre éclatant aux abords de son cortège à Mbacké, accompagnée de commentaires insinuant que la leader en serait responsable. Une attaque grossière que ARC a immédiatement dénoncée. « Ces provocations sont des tentatives désespérées de nous déstabiliser, mais notre engagement ne vacillera pas, » a réaffirmé le parti dans un communiqué sans appel. « Nous condamnons fermement tout acte de violence. »
Pour Anta Babacar, ces calomnies ne sont que l’illustration d’un jeu politique malsain. Mais loin de se laisser abattre, elle poursuit sa campagne avec une force tranquille. « Mes partisans savent ce que je défends. La politique de la haine n’a pas de place dans notre ambition pour le Sénégal » a-t-elle ajouté, les yeux brillants d’une détermination inébranlable. « Nous bâtirons un avenir sur la dignité, le dialogue et la construction d’une démocratie apaisée. »
Les détracteurs ne s’arrêtent cependant pas là. Une deuxième vidéo, encore plus insidieuse, tente de salir sa réputation en transformant un simple geste de l’index en une insulte imaginaire. Anta Babacar, qui invitait alors ses collaborateurs à saluer la foule, se voit accusée à tort d’un geste vulgaire. Heureusement, cette tentative de manipulation a été largement ridiculisée par les internautes, qui n’ont pas manqué de souligner le caractère grotesque de l’accusation.
Ce climat de désinformation vient assombrir une campagne déjà marquée par des tensions extrêmes, exacerbées par la lutte acharnée entre les grandes coalitions, notamment pour le contrôle de Dakar. La menace de débordements se fait pressante, et l’appel d’Anta Babacar à la paix et à la vigilance résonne d’autant plus fort. « J’appelle les autorités à garantir la sécurité de toutes les caravanes et à empêcher toute violence qui pourrait entacher notre processus démocratique, » a-t-elle plaidé, consciente des risques d’une montée des tensions.
Dans ce contexte où la méfiance et les provocations dominent, Anta Babacar maintient une position claire : « Nous avons le devoir de résister à la tentation de la violence, même sous les provocations les plus fortes. Ma mission est d’élever le débat politique, de ramener les esprits vers l’essentiel : des solutions concrètes pour un Sénégal meilleur. » Elle termine son message, perchée sur son véhicule de campagne, par un sourire désarmant, offrant une image de force tranquille.